C’est souvent dans les détails que l’on peut juger un homme, un groupe ou un Etat. L’hiver et ses rigueurs, par nature cyclique et donc prévisible, relèvent de cet ordre, à l’échelle d’un gouvernement. Pour autant, comment ne pas rester pantois devant l’incroyable incapacité de l’Etat socialiste, dans toutes ses ramifications, à faire face à des neiges abondantes. Quel spectacle également donne notre capitale, et ceux qui la dirigent, aux dizaines de milliers de touristes de cette semaine, avec ses rues verglacées, sa neige entassée, attendant un hypothétique soleil pour fondre.
Même la neige en mars surprend les socialistes…
La morale de cette historiette est que les idéologues de gauche, si prompts à vouloir contrarier la nature, si volontaires lorsqu’il s’agit de se mouvoir dans les mondes virtuels des pensées errantes, se réveillent désemparés au moindre retour du réel, dès que la nature hausse le ton.
Cliquer ici pour trouver tous les communiqués de presse de Jacques Bompard