Jacques Bompard a désarçonné le ministre des finances en l’interrogeant sur son application à promouvoir la finance internationale plutôt que l’intérêt de la France. En libéralisant les intervenants extérieurs sur certains marchés au détriment des entreprises françaises et en cherchant à accroire le recours au marché obligataire, l’Etat se vend pieds et poings liés.
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