Sur les folies de la parité absolue

liguedusud paritéIl est chose bien connue qu’il ne faut pas contrarier les fous. Aussi, dans le débat parlementaire sur la parité, l’ironie est la seule réponse raisonnable que l’on peut faire à une loi folle.

C’est la raison pour laquelle Jacques Bompard a déposé une série de sept questions qui appartiennent toutes à la même famille de l’absurde. Gageons qu’Ubu législateur les appréciera en connaisseur.

La parité, terre promise du féminisme en politique, est un coup porté à la république, du moins, la république tel qu’elle devrait être pour mériter son nom. Ni la classe sociale, ni la race, ni la religion, ni le sexe, ne sont une garantie de compétence, d’expérience et de courage. Du reste, les hommes demandent-ils que Marianne soit rebaptisée Mario ?

Au printemps 40, alors que les panzers déferlaient dans les Ardennes, l’assemblée nationale d’alors étudiait paisiblement en commission l’évolution du prix des légumes. L’histoire qui a bonne mémoire retiendra, pour l’anecdote, qu’en pleine crise mondiale le gouvernement socialiste aura présenté comme un fait de première importance, propre à révolutionner la politique, une loi faisant élire dans des assemblées départementales, non plus un homme ou une femme, mais un homme et une femme.

La décadence se dévoile aussi dans les détails.

Cliquer ici pour lire ou relire tous les communiqués de presse de Jacques Bompard.

Retrouvez les questions écrites de Jacques Bompard sur la parité aux liens suivants:

Sur le caractère discriminatoire du Préambule de 1789.

Sur la promotion de la parité au sein de la profession d’aide-soignante.

Sur le manque de parité au sein de la fonction publique territoriale.

Sur l’absence de parité au sein des institutions hospitalières.

Sur la disparition de la parité au sein du mariage.

Partagez cet article

Facebook
Twitter
LinkedIn

Page Facebook