La guerre civile en guise de jours d’après

Pendant qu’Emmanuel Macron nous mijote ses discours creux et sans intérêts du dimanche soir, la France s’enfonce toujours un peu plus dans la guerre civile.

 D’un côté, les émeutiers de l’antiracisme continuent de vociférer à Paris et dans quelques grandes villes devant les génuflexions soumises de quelques bobos gavés au prêt à penser et aux bons sentiments. Que des policiers se fassent agresser en marge du cortège est devenu d’une telle banalité que le phénomène n’émeut plus personne place Beauvau.

De l’autre, les rixes inter-ethniques qui virent au règlement de compte, voir à la guérilla urbaine. En plein centre de Dijon, une centaine de ressortissants tchétchènes ont pris pour cible un bar à narguilé et des maghrébins d’origine pour venger un jeune de leur communauté agressé selon eux quelques jours plus tôt par des dealers. Il aura fallu trois jours d’émeutes, une voiture bélier, des barres de fer et, pour finir, des tirs d’armes de guerre pour que Laurent Nuñez daigne se dépêcher sur les lieux et envoi une unité du RAID intervenir.

Quatre personnes seulement ont été interpellées …

Suite au mouvement des gilets jaunes, Emmanuel Macron promettait de bâtir un « nouveau contrat social ». Nous y sommes : autrefois nous consentions à renoncer à nos libertés et à payer l’impôt pour que l’État nous protège. Aujourd’hui, nous n’avons plus de libertés, nous payons toujours plus d’impôts et l’État ne nous protège plus.

Maurice Barrès a dit « Où manque la force, le droit disparaît ; où apparaît la force, le droit commence de rayonner. » Regardez de quel côté est la force aujourd’hui, et vous comprendrez qui dictera les lois demain …

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