Le Grand Remplacement détruit la femme européenne

La journée internationale de la femme est l’occasion de développements délirants. Théorie du genre, promotion de la culture de mort, fantaisies grammaticales s’invitent dans une actualité saturée de prébendiers du communautarisme.

Pourtant, un spectre hante notre continent. Un triste esprit qui pourrait remettre en cause un des piliers de notre civilisation. J’entends parler de l’islamisme politique, c’est-à-dire d’une religion déguisée en fait culturel qui se comprend comme une idéologie de combat. De Cologne aux marchés d’Avignon, de Roubaix à Argenteuil, les constats s’accumulent : les femmes occidentales pourraient bientôt se laisser tenter par la proposition d’asile que leur lança Viktor Orban.

La faute à un discours sur l’islam de notre classe politique qui oscille entre pudibonderies multiculturalistes et préciosités électoralistes. La faute aussi à des visas majoritairement accordés à des pays où la situation de la femme est notoirement compromise.

Folklore-provençal

J’ai déposé le 26 janvier 2016 une proposition de loi intitulée contre toutes les violences faites aux femmes. Elle rappelait que le vieux projet de régénération de l’Humanité à travers l’idéologie féministe et que la violence islamiste et son projet rétrograde se nourrissaient mutuellement. Dans un entretien accordé à la gazette en ligne catholique, Le Rouge et le Noir, l’essayiste Gabrielle Cluzel résumait à propos le chemin de résistance des femmes : « Celui d’assumer leur identité avec assurance et fierté, dans toutes ses acceptions. Et pour cela, d’envoyer valdinguer toutes les burqas qu’on veut leur faire enfiler de force pour masquer leurs attributs : burqa physique de l’islam, bien sûr, mais aussi burqa chimique de la contraception qui vient éteindre leur fécondité, burqa psychologique du « genre » qui vient nier leur féminité… et la liste est longue ! »

Et j’ajoute dans la fin de l’exposé des motifs de ma proposition de loi : « Il faut donc lutter vivement contre les violences à l’égard des femmes, qu’elles soient physiques, éthiques ou d’ordre économique. Le viol, les agressions de femmes enceintes, la marchandisation du corps de la femme ou l’incitation forcée à l’activité professionnelle par le biais de sanctions économiques sont autant de violences auxquelles doivent faire face les femmes de notre société. Il est de notre devoir de représentants du peuple français de les aider en fournissant à la justice les moyens de lutter pour les protéger. »

Vive la femme provençale, porteuse des trésors de la Tradition ; vive la femme française, modèle pour tant d’autres dans le monde ; vive la femme européenne, pilier de notre Civilisation.

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