Réponses aux diffamations des médias sur l’ordonnance de mon renvoi devant le tribunal correctionnel

Photographie de Campagne législativeLa recension par les médias de l’ordonnance me renvoyant devant un tribunal correctionnel a donné lieu à de nombreuses diffamations dans le commentaire comme sur le fond. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de porter plainte contre La Provence et le Dauphiné Libéré. La liberté d’informer n’est pas celle de blesser la vérité. Ces journaux l’apprendront à leurs dépends. Je rappelle au passage que la personne à l’origine des plaintes à mon encontre a été, par ailleurs, lourdement condamnée en première instance puis en appel pour dénonciation calomnieuse.

Contrairement à ce qui a pu être écrit, ici ou là, la prétendue non préemption par la ville d’Orange de terrains acquis par la SCI Grégory n’a pas été retenue par la justice contre moi. Affirmer le contraire est parfaitement scandaleux et diffamatoire. Ces faits relatifs à la SCI dont il est souvent question sont donc totalement balayés.

En ce qui concerne les faits reprochés à M. et Mme Lainé, je rappelle que leur achat de biens communaux a observé les règles de la procédure en la matière. Leur prix d’achat était supérieur à l’estimation de l’Etat et la vente a été soumise à concurrence.

En d’autres termes, ce qui me vaut l’indignité publique d’être – éventuellement – envoyé devant un tribunal – j’ai interjeté appel – est une affaire de forme juridique. Exemple : j’ai commis le crime, lors d’un conseil municipal, de ne pas sortir de la salle au moment d’un vote. Si tous les maires de France étaient passés au crible dans leur gestion administrative comme je l’ai été depuis 18 ans et le suis encore, aucun ne sortirait indemne de cet imbroglio procédurier que subit notre pays

Enfin, et pour conclure car la chose est fondamentale, il ne m’est reproché aucun enrichissement personnel dans ce dossier.

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