Peut-on de nouveau débattre de l’Education nationale ? Après celui de la baisse du niveau scolaire, c’est un autre tabou institué par la gauche qui tombe : le communautarisme islamiste à l’école.
Selon une enquête IFOP commandée par la Fondation Jean Jaurès auprès des enseignants, les revendications religieuses -autres que catholiques- seraient de plus en plus nombreuses et récurrentes. Ainsi, quatre professeurs sur cinq affirment y avoir déjà été confrontés au cours de leur carrière dont 59% dans leur établissement actuel. 47% ont reçu des revendications de repas confessionnels dans les cantines. 40% ont vu de jeunes filles s’absenter lors de cours d’éducation physique (avec ou sans certificat médical).
Surtout, un professeur sur deux affirme s’être déjà autocensuré dans son enseignement sur des questions religieuses par peur de possibles incidents… Ou de représailles. 13 points de plus qu’en 2018 !
Un constat qui n’est pas nouveau mais qui devrait, logiquement, en appeler un autre. Tout le monde sait, malgré le non-dit permanent de ce genre d’études, que ces « revendications religieuses » concernent en général une religion : l’islamisme. Pourtant, celle-ci n’est pas tombée du ciel. Les revendications communautaristes et la menace latente qu’éprouvent ces professeurs sont la traduction politique du basculement démographique qui s’opère avec le grand remplacement. Pourquoi existe-t-il de plus en plus de revendications de la part d’élèves musulmans ? Parce qu’ils sont de plus en plus nombreux tout simplement.
La loi du nombre les rends d’autant plus forts que l’État préfère la faiblesse et la trahison. Ainsi, le ministère de l’Intérieur a choisi, plutôt que de combattre l’explosion du nombre de demandes d’asile sur notre territoire, de « soulager » l’Île de France en submergeant les régions plus ou moins préservées d’un afflux de migrants. L’objectif de l’État d’ici 2022 étant de 2500 migrants dispatchés tous les mois entre la Bretagne, la Nouvelle Aquitaine et la Bourgogne … Histoire d’alimenter un peu plus les foyers de radicalisation désormais présents jusque dans nos campagnes.
On retrouve cette même lâcheté dans tous les dossiers qui n’en finissent plus de pourrir notre société : Fraude fiscale et sociale, délocalisations, chômage, insécurité, terrorisme, … Partout l’arbre de la trahison politicienne nous donne les mêmes fruits de discorde, de rancœur et de haine. Mais, de la même manière que nous osons dire qu’il n’y a pas de communautarisme sans communautés étrangères, il ne peut y avoir de richesse que d’hommes, surtout dans le domaine politique. Un changement de paradigme à la tête de l’État ne peut-être incarné que par un homme courageux comme Eric Zemmour. Car comme le dit un célèbre proverbe « bon courage est la moitié du travail ».