François Hollande vient de rendre hommage aux victimes algériennes d’une manifestation organisée par le FLN en octobre 1961 à Paris. Selon les historiens, le nombre de ces victimes se situerait entre zéro et deux cent. Je n’entrerai pas dans ce débat de spécialistes, même si je regrette que, selon leur sensibilité politique, certains aient un accès aux médias pour « éclairer » les événements d’octobre 61 que n’ont pas les autres…
En revanche, j’attends maintenant que François Hollande rende hommage aux victimes suivantes :
Les 62 Français d’origine européenne abattus par l’armée française le 26 mars 1962 rue d’Isly à Alger.
Les milliers de militants algériens du MNA égorgés en France par leurs rivaux du FLN.
Les dizaines de milliers de harkis égorgés comme des animaux au moment de l’indépendance par le FLN, dont les héritiers politiques sont aujourd’hui au pouvoir à Alger.
Un pouvoir algérien, corrompu jusqu’à la moelle et qui en un demi-siècle a détruit ce que la France avait bâti. Un pays d’où chaque année des milliers d’Algériens s’enfuient pour venir vivre dans l’ancienne métropole. Un pouvoir algérien qui, bien évidemment, n’a jamais songé, lui, à présenter la moindre excuse pour les enfants égorgés, les femmes violées, les hommes massacrés par les terroristes du FLN !
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