Jacques Bompard dénonce la charia et les racailles qui sévissent en France

De Villeurbanne à Sevran au quartier de la Chapelle-Pajol : les manifestations du radicalisme islamique au sein des quartiers français se font de moins en moins discrètes, à mesure que leurs responsables connaissent l’impunité totale dont ils disposent désormais. Dans ces fiefs de la gauche socialiste, les femmes ne sont désormais plus les bienvenues. « Vendeurs, dealers, « migrants », passeurs » régissent désormais ces zones de non-droit, interdisant aux Françaises de se rendre en certains lieux publics, les harcelant verbalement et physiquement.

En janvier dernier, j’avais déjà alerté le Parlement sur la multiplication des atteintes faites aux femmes dans ma proposition de loi relative à la lutte contre toutes les violences faites aux femmes. « La sur-violence en banlieue est une réalité de plus en plus évidente ; l’échec de la politique de la ville dans ces zones confirme leur statut de franges du territoire national où l’autorité régalienne ne peut plus s’exercer », indiquais-je. J’insistais alors sur la nécessité de déchoir de la nationalité française tout primo-arrivant s’étant exercé à ce type d’atteintes à l’encontre des femmes.

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Dernièrement, les riverains du quartier de la Chapelle-Pajol ont décidé de sortir du silence : voilà près d’un an que les Françaises y subissent des humiliations quotidiennes, des injures au jet de cigarettes, jusqu’à la réclusion obligatoire… Alors que le nouveau gouvernement s’installe, j’ai interrogé le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb sur les dispositions qu’il comptait prendre pour mettre un terme à cet ensauvagement de notre société. Sur la manière dont il comptait « protéger les quartiers de la radicalisation islamique ». L’ancien maire de Lyon, qui a vivement contribué à une telle transformation civilisationnelle sur son territoire, répondra-t-il à cette alarme légitime ?

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