La Gauche française et notamment son plus haut représentant actent leur maîtrise parfaite des liens incestueux entre la presse et le pouvoir. Avec l’affaire Théo, c’est l’occasion parfaite pour une nomenklatura en perdition de resserrer les rangs et appliquer sa vieille antienne : la stratégie Terra Nova. Une stratégie qui tient en une définition : l’alliance des communautés minoritaires contre le pays réel.
Le 2 février dernier, suite à une interpellation qui fait encore débat, et ce notamment suite au rapport de l’inspection générale des services, un policier était mis en examen. Les médias et la gauche lui reprochent d’avoir violenté un jeune homme qui agressait les forces de l’ordre au moment de son interpellation.
Avec un opportunisme éclatant, des émeutes sont alors déclenchées à Bobigny, Argenteuil, Épinay-sur-Seine et en Seine-Saint-Denis. Dimanche dernier on entendait des « Allah Akbar » dans le cortège gaucho-islamiste. Des mineurs âgés de 13 à 16 ans incendièrent une voiture ou une fillette aurait pu mourir brûlée. A Mantes-la-Jolie la synthèse du ministère de l’intérieur dénombre : « 14 tirs de lanceurs 40/46, 5 tirs de MP7, 25 tirs de Cougar ». Dans la nuit du 12 au 13 février, quatre voitures de polices ont été détruites.
La réaction du gouvernement est affligeante. Lundi, Bernard Cazeneuve recevait les associations dites anti-racistes dont le CRAN. A croire qu’il s’agit pour la Gauche de racialiser un fait divers. Elle est bien aidée en cela par le défenseur des droits Jacques Toubon, qui s’est saisi de l’affaire alors qu’il avait refusé de mettre en lumière la dimension antifrançaise et anti-blanche du viol d’Evry.
Les Français sont accablés par la préférence de certains réseaux de pouvoir pour les quartiers du Grand Remplacement dont il est suffisamment établi qu’ils sont les premiers bénéficiaires de la redistribution sociale. Ils sont choqués qu’en plein État d’urgence et après le meurtre de policiers par les islamistes, le président Hollande fasse le choix des quartiers contre celui des Français.
Je soutiens la police dont la mission dans les « No Go Zone » est toujours plus complexe. Je suis du côté de la police. J’exprime aux serviteurs de la société qu’ils pourront bientôt être débarrassés d’un pouvoir socialiste qui n’aura cessé de les humilier pendant son quinquennat.