Jacques Bompard intervenait dans l’hémicycle sur la proposition de loi visant à instaurer des funérailles républicaines : « Vous prétendez maintenant offrir un salut républicain. Marianne sera sa prêtresse, un adjoint sans légitimité son officiant, un énarque épuisé rédigera sa liturgie. Les enfants de chœur se recruteront parmi les cercles rationalistes et Voltaire fera office de missel. C’est cette intrusion de l’Etat dans les étapes cruciales de la vie sociale que je combats. Et ce texte n’en est qu’une nouvelle et détestable incarnation. », a-t-il souligné.