Le féminisme augmente le nombre de cancers

Il s’agissait pour toute une génération de femme de prendre le contrôle de leur vie. Poursuivant une tradition millénaire chrétienne, les femmes françaises ont aspiré à acter leur autonomie au lendemain de la seconde guerre mondiale. Après avoir vécu les affres du suicide européen en 1914 puis les élucubrations du règne des partis menant à l’impréparation de la seconde guerre mondiale, les femmes obtinrent le droit de vote.

Aujourd’hui décrit comme une émancipation uniforme, la « libération de la femme » est allée dans deux directions : pour l’une la reconnaissance de l’originalité de son autonomie, qui est admirable, pour l’autre de l’adhésion aux erreurs d’une propagande qui ne devait aller qu’en empirant.

Violences-faites-aux-femmes1

Les résultats sont de plus en plus contestés. La société américaine du cancer, par la plume de Sally Cowal, vient d’admettre que le retardement des naissances, leur contrôle chimique et la médicalisation du suivi de la fertilité augmentaient le nombre de cancers. Aujourd’hui, en France, c’est la communication à ce sujet qui est réprimée à travers la question du délit d’entrave.

Par ailleurs, la transition économique, c’est-à-dire l’explosion du salariat féminin, a été effectuée sans adaptation des rapports économiques. A ce titre, la multiplication des emplois à temps partiels, la fin de la politique nataliste et familiale, la non-prise en compte des maladies liées au stress, provoquent des conséquences médicales négligées.

En somme l’Etat, en ne cherchant par le développement harmonieux de la société en fonction de la juste lutte pour l’autonomie des femmes n’a fait que propulser une société individualiste et mercantile qui leur est défavorable.

Les femmes sont donc en droit de porter plainte contre un Etat qui continue à confondre idéologie féministe et service réel de leur bien.

Partagez cet article

Facebook
Twitter
LinkedIn

Page Facebook