Et si l’islamisme tuait plus que le coronavirus ?

Quelle cruelle ironie ! A peine, Macron a-t-il annoncé un nouveau confinement à partir de courbes mathématiques encore invérifiées que le réel de la France de 2020 frappe à la porte.

15 jours après la décapitation de Samuel Paty, un islamiste coupe la tête d’une paroissienne de la cathédrale de Nice, en égorge une deuxième, et blesse grièvement une troisième qui mourra dans le café d’à côté. A Avignon, on apprend à l’instant qu’un homme vient d’être abattu après avoir attaqué des policiers.

La veille, ce sont des centaines de Turcs qui se sont répandus dans les rues de Vienne au sud de Lyon pour une ratonnade contre les Arméniens aux cris de « Allah akbar ». Pendant ce temps, la Turquie et le Pakistan incitent tous les jours le monde musulman à la haine antifrançaise.

L’urgence de salut public n’est pas tant le coronavirus que l’épidémie islamiste qui tue plus sûrement encore, et dont nous connaissons les agents incubateurs.

Si Macron est capable de mettre le pays en résidence surveillée à cause d’un virus mutant, il doit au plus vite prendre des mesures d’une sévérité analogue contre l’immigration, qui est à l’islamisme ce que l’air est au virus.

Macron doit agir rapidement. Il n’y a pas de place en réanimation pour les Français décapités.

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