Suite à l’attaque à la bombe dont l’Action française Marseille a fait l’objet à l’aube du 30 juillet, Jacques Bompard a saisi le ministère de l’intérieur. La bombe, qui a explosé à quatre heures du matin, a été déposée par un groupe d’extrême-gauche déjà connu pour ses méfaits. « Agressions violentes de militants [adverses] à l’aide de barres de fer, dégradation et effraction de leurs locaux, dépôt de munitions (balles de kalachnikovs, de grenades quadrillées…) … sont le lot commun des exactions antifascistes, notamment à Marseille depuis près de deux ans » , a indiqué le député au ministre de l’Intérieur.
Retrouvez la lettre ouverte de Jacques Bompard.