Jacques Bompard a interrogé le ministre de l’Europe et des affaires étrangères sur les pratiques douteuses de certains de ses officiers du quai d’Orsay. Face à de si lourdes suspicions de corruption, le député s’est étonné de la légèreté avec laquelle la Commission de déontologie de la fonction publique, qui n’a jamais interdit à l’intéressé de conserver une activité avec ses anciens contacts en Irak alors même qu’elle l’avait fait pour son siège en Tunisie, a minoré les risques de corruption de son ancien employé.