J’intervenais en Séance sur la proposition de loi déposée par Nathalie Kosciusko Morizet sur la « prédication subversive ». Je lui ai indiqué qu’il était nécessaire de définir les racines véritables du mal auquel sa proposition souhaitait aller à l’encontre. « C’est l’islamisme politique qui s’en prend à notre pays. Ce n’est pas la radicalisation qui pose problème, c’est la radicalisation islamiste. Ce n’est pas l’exclusion sociale. Ce n’est pas un traumatisme post-colonial, c’est l’adoption fanatique par des jeunes gens des imprécations guerrières d’une partie du Coran », ai-je souligné.