L’islamisation à l’assaut des législatives

Le Parti Egalité et Justice, Union des Démocrates Musulmans français, Français et Musulmans, … Dans l’impunité la plus totale, les partis portant des intérêts communautaires étrangers se multiplient ; à la veille des législatives, les partis islamistes tentent de s’enraciner dans les départements français pour y porter le prêche islamique.

La semaine passée, j’alertais déjà de la gravité de la présence des 52 candidats du Parti Egalité et Justice dans près de 28 départements à travers le territoire. Une alerte légitime, tant ses liens avec l’AKP sont – en dépit des dénégations des candidats – de plus en plus visibles. Véritables activistes en faveur du Président turc, ses membres sont également de farouches adeptes des officines malsaines héritées de la gauche victimaire. Des groupes de pressions antiracismes aux collectifs contre l’islamophobie jusqu’aux organismes prônant une accélération des flux migratoires en France[1], ce parti soutient dans une perspective électoraliste toute disposition susceptible de l’ériger demain à la tête des collectivités et échelons politiques subsidiaires français.

D’autres partisans de l’islamisation de la France ont rejoint le mouvement, à l’instar de l’Union des Démocrates Musulmans français. Malgré un nombre limité de candidats, l’UDMF a pu s’inscrire dans le paysage politique dès 2015 : si sa liste aux élections régionales n’avait fait que 0.4% en Ile-de-France, elle avait toutefois reçu plus de 10% dans 20 bureaux et plus de 5% dans 161 bureaux… Pour les législatives, on compte sur Sandra Fourastié, candidate voilée qui doit représenter ce « parti laïc et non religieux et néanmoins riche de son éthique musulmane symbolisant un éveil des consciences dont elle est tout à la fois l’incarnation et l’activiste engagée sur le terrain ».

UDMFFourastier

L’enracinement de ces intérêts étrangers et communautaires dans le paysage politique commence à se distinguer dans le panorama politique. Cette installation, pourtant, n’est pas née de façon hasardeuse : forts de l’appui des membres du parti socialiste et de l’UDI, ses candidats de l’islamisation ont pu assoir leur influence sur certaines parties du territoire français. A l’image du parti « Français et Musulmans », qui compte en plus de ses six binômes des membres de ces partis politiques. Droit de vote aux étrangers pour des élections locales, installation de jours fériés pour les juifs et les musulmans, réactualisation de la loi de 1905 pour faciliter la construction de mosquées, remise en question de la législation sur le voile,… : telles sont les mesures qu’ils porteront demain à l’issue d’élections décisives.

Car les velléités de ces officines ne s’arrêtent pas aux législatives. Comme le souligne Hanan Zahouani, de Français et Musulmans, « les législatives de juin 2017 sont le premier tremplin qui mène à d’autres élections (municipales, européennes, régionales,…) déterminantes pour nous inscrire dans un paysage comme une force unie autour de solutions positives à mettre en œuvre pour une éthique de tous les jours et à tous les niveaux In Sha Allah ». Un tremplin dont l’aboutissement est l’islamisation de la France soutenue par la gauche et l’aboutissement le Grand remplacement de notre civilisation.

[1] Pour le PEJ, les naturalisations sont insuffisantes, les délais de permis de séjours trop courts.

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