J’intervenais en commission des lois auprès de la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés. « Quelle est l’évaluation de la CNIL quant aux dispositions sur l’Etat d’urgence. En effet en ne nommant pas, ou mal, les ennemis de notre pays lors des lois visant à lutter contre le terrorisme islamiste, le gouvernement a beaucoup inquiété certains militants politiques qui pointent un risque d’instrumentalisation des services publics à des fins idéologiques se détournant de la lutte contre l’islamisme », ai-je demandé.