Sur la dévaluation du baccalauréat

bompardM. Jacques Bompard attire l’attention de M. le ministre de l’éducation nationale sur les pressions faites sur les correcteurs du baccalauréat qui ont été, avec insistance, incités à l’indulgence. Dévaluer la valeur d’un examen, si cela améliore les statistiques, est un handicap sévère pour ceux qui obtiennent un diplôme dévalué. Si le niveau n’est pas atteint, la sanction surviendra plus tard, lors des épreuves en facultés ou en grandes écoles, à moins que les mêmes consignes d’indulgence ne soient reproduites aux échelons supérieurs, avec des effets encore plus catastrophiques. Il lui demande donc de s’assurer que l’État ne prend pas les candidats du baccalauréat en otage des statistiques au détriment de la valeur de leur diplôme.

Cliquer ici pour lire la question sur le site de l’Assemblée nationale.

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