A l’issue des questions orales sans débat, Jacques Bompard a interrogé le Ministre des Affaires Sociales et de la Santé sur la clause de conscience des pharmaciens.
« Refuser une clause de conscience aux pharmaciens c’est céder face à deux pressions coalisées. La première tient aux laboratoires pharmaceutiques dont Jérôme Cahuzac nous a expliqués qu’ils finançaient l’ensemble des partis politiques. La seconde est une pression idéologique qui voudrait que la loi l’emportât sur les convictions personnelles. », a-t-il souligné.
Retrouver l’intervention de Jacques Bompard :
Retrouver le texte de la question :